Ne laissons pas les paresseux devenir les prochaines victimes d’un marché cruel et inhumain.

Les paresseux vivent dans des arbres. Leur place n’est ni chez des particuliers, ni comme objets de selfies dans des zoos mal entretenus.

Or, dans toute l’Amérique centrale et l’Amérique du Sud, de plus en plus de bébés paresseux sont arrachés à leurs mères pour être vendus comme animaux de compagnie ou être pris en photo avec des touristes. La plupart de ces petits paresseux ne survivent pas au transport qui leur est imposé après leur capture : on estime que jusqu’à 90 % d’entre eux meurent avant d’atteindre la destination prévue.

Le commerce de ces animaux est en plein essor. Si nous agissons maintenant, nous pouvons y mettre un terme avant que les paresseux ne connaissent le même sort que tant d’autres espèces victimes d’un commerce qui met en péril leur survie.

À l’occasion de la COP20 de la CITES organisée du 24 novembre au 5 décembre, les gouvernements mondiaux devront se prononcer au sujet d’une proposition destinée à renforcer la protection des paresseux dans le cadre du commerce international. Si cette proposition est approuvée, les gouvernements auront la possibilité d’intervenir avant que ce commerce cruel ne devienne hors de contrôle.

Signez dès maintenant notre pétition pour appeler les dirigeants mondiaux à protéger les paresseux et leur statut d’espèce sauvage.

Signez la pétition

Je vous écris aujourd’hui pour vous appeler à soutenir la proposition 11 présentée à la CoP20 de la CITES, qui concerne l’inscription du paresseux d’Hoffman (Choloepus hoffmanni) et du paresseux à deux doigts (Choloepus didactylus) à l’Annexe II de la CITES.

La capture et le commerce illicites des paresseux sont aujourd’hui en plein essor en Amérique du sud et en Amérique centrale. Des milliers de bébés paresseux sont capturés chaque année dans la nature, souvent arrachés à leur mère, afin de satisfaire la demande mondiale liée au commerce d’animaux de compagnie et à l’industrie du tourisme. D’après les experts, jusqu’à 90 % de ces paresseux ne survivent pas.

Aujourd’hui, nous avons la possibilité de mettre un terme à cette cruauté, avant qu’il ne soit trop tard. C’est pourquoi je vous invite à voter pour le renforcement des protections internationales en faveur des paresseux lors de la CoP20.

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